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M, comme

Il s’agit d’une autofiction dans laquelle la narratrice invente une méthode : la « géogénéalogie ». Elle consiste à remonter sa lignée en se rendant sur les lieux de vie de ses ancêtres féminines,
Les trois parties du livre relatent les récits de ces déplacements faits en Allemagne, en Auvergne et au Havre.

La narratrice récolte la voix de ses aînées, explore les lieux de leurs souvenirs et par les remous du trajet, elle recouvre des lieux de sa propre mémoire. La méthode se déploie ainsi, dans une mêlée des voix, jusqu'à l'espace d'une paix plus ou moins retrouvée.

J'ai à cœur de fabriquer des histoires à travers l'hyper-intimité. Ce n'est pas un conte, ce n'est pas un rêve, j'aimerais qu'on lise M, comme comme un espace où le réel se met à vif, pour laisser place à la fiction.

L'illustration de la couverture a été réalisée par Thomas Rousseau-Lobjoit.

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